Tout le monde veut sauver la planète. Mais qu’est-ce qui est plus efficace ? Manifester dans la rue comme le font cet après-midi des milliers de jeunes Genevois ou réaliser sa propre culture bio comme le fait Guillaume Thébault, 20 ans ? Les deux bien sûr nous explique Guillaume qui non seulement tente d’atteindre l’autonomie alimentaire en cultivant son lopin de terre sur la frontière franco-genevoise mais en plus est le réalisateur d’un documentaire « Futur d’espoir » qui a été primé et qui a tourné dans plusieurs pays d’Europe. Un film qui est à l’affiche du FIFDH cette semaine à Genève.
Comprendre, expliquer mais surtout passer à l’action, c’est ainsi qu’on pourrait résumer la devise de Guillaume Thébault. « J’en avais un peu marre du discours politique qui fait dans l’autocongratulation. Ça m’a gonflé. Mais il ne suffit pas de râler. J’ai aussi voulu mettre quelque chose en place de très concret ».
Que pense Guillaume de la starification du mouvement pour protéger la planète avec la jeune activiste Greta Thunberg ? « Je ne vois rien de négatif dans cette action de l’activiste suédoise. Ce qu’elle fait est très louable dans la mesure où elle a réussi à motiver tous ces jeunes à descendre dans la rue. Mais bien sûr, ce mouvement ne lui appartient pas. À chaque jeune de trouver sa place ». Guillaume participera à la manif genevoise, camera au poing, pour capter quelques images qui pourraient venir enrichir un nouveau film en gestation. Alors cinéaste, activiste ou réalisateur ? Il est un peu tout cela à la fois même si, lui, affirme qu’il est juste en apprentissage et fait des expériences à sa mesure donc à très petite échelle. Le tout avec une modestie non feinte qui l’honore.
Le second tour des élections municipales est organisé, ce dimanche, à Genève. Le scrutin est bien évidemment impacté par le Covid-19 : aucun local de vote ne sera ouvert, ce dimanche. Le vote ne se fera que par correspondance ou en déposant votre enveloppe au service des votations et élections. Julien Grosclaude, le vice.chancelier du canton de Genève, était l’invité de Béatrice Rul, à 7h20, dans Radio Lac Matin, pour détailler l’organisation particulière de cette élection.
Le Conseil fédéral a annoncé, vendredi des mesures complémentaires pour aider ceux qui ont du mal à régler leur loyer, en cette période de pandémie. Le délai de paiement est ainsi étendu de 30 à 90 jours, Insuffisant pour Carlo Sommaruga, le président de l’Asloca, qui était l’invité de Béatrice Rul, à 7h20, dans Radio Lac Matin.
Invité sur Radio Lac de Béatrice Rul ce vendredi matin, Lorenzo Stoll, directeur de Swiss pour la Suisse romande, dresse le bilan provisoire de la situation économique de la compagnie. Pour faire face à ses difficultés immédiates de trésorerie, il appelle à l’aide financière de la Confédration sous la forme d’un crédit-relais.
« On essaie de tenir le plus longtemps possible par nos propres moyens et avec le soutien de notre propriétaire le groupe Lutfhtansa, nous pensons à faire appel à une aide de la Confédération sous la forme d’un crédit relais pour absorber une partie de nos besoins en liquidités, cela devient de plus en plus nécessaire. Les discussions sont actuellement en cours avec Berne. »
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Le programme a été réduit à 5% du programme habituel avec quelques vols au départ de Genève et Zurich. La majorité des collaborateurs sont au chômage technique ou partiel. Les projets non indispensables sont gelés. Le grounding actuel n’est toutefois pas comparable aux problèmes rencontrés par la compagnie aérienne précédente avant sa faillite, précise Lorrenzo Stoll. Avec une pointe du recul, le directeur de Swiss pour la Suisse Romande s’attend à une mutation profonde du marché aérien avec la probable disparition des acteurs les plus fragiles. A ce stade, la présence de Swiss à Genève n’est pas remise en question sans pouvoir garantir la prochaine dimension du programme de vols qui sera remis en place, dès la reprise complète du trafic aérien mondial.
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A Genève, la cellule ORCA est chargée de gérer la crise du Covid-19. Cette organisation des secours en cas de catastrophe est placée sous l’autorité du Conseil d’Etat. Elle met en oeuvre tous les moyens nécessaires à la gestion de la crise et les coordonne. Le docteur Marc Niquille, chef de l’état-major cantonal de conduite était l’invité de Béatrice Rul, à 7h20, dans Radio Lac Matin.
Le confinement décidé pour lutter contre la propagation du Covid-19 est difficile à vivre pour tous, mais encore plus pour les personnes déjà isolées. Le département de la Cohésion Sociale, en collaboration, avec les communes a mis en place un dispositif pour casser cet isolement. Le conseiller d’Etat, Thierry Apothéloz, chargé de la Cohésion sociale était l’invité de Béatrice Rul, à 7h20, dans Radio Lac Matin, pour en présenter les grandes lignes.
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